Joseph TARASSENKO n'est plus.
Jo était un patriarche au sens premier du terme. Père, grand père, arrière-grand père aimé et vénéré, il cultiva jusqu'à son dernier souffle les vertus familiales les plus nobles.
Jo Tarassenko fut aussi une figure légendaire de la boxe nationale et insulaire, d'abord pour ses propres lauriers pugilistiques, puis pour son dévouement à la formation et à l'éducation de la jeunesse ajaccienne attirée par les lumières du ring.
Mais Jo fut aussi pour ses camarades et amis de l'Association "Kalinka-Machja", le Président qui depuis plus d'une décennie fit preuve d'un engagement solide et déterminé, mais toujours accompagné d'une grande empathie avec l'ensemble des adhérents.
Il y a trois semaines encore, alors que ce qu'il est convenu d'appeler une cruelle maladie lui avait accordé un répit lui permettant de regagner son domicile, il nous confiait, sur la terrasse de son havre de San Fedele, terrasse qui surplombe la splendeur du golfe de Lava et de la campagne environnante, son bonheur d'avoir pu faire renaître et perdurer le souvenir des migrants du "Rion" qui, au lendemain de la révolution russe, furent accueillis en 1921 sur la terre de Corse, devenue leur patrie, et y fondèrent famille en épousant des insulaires.
Il nous rappela aussi quelle avait été sa joie de retrouver, accompagné d'Éliane, qui partageait sa vie, et de sa fille Nicole, à l'occasion d'un pèlerinage aux sources, le village natal de son père, ainsi que ses cousins et petits neveux, dans la région de Krasnodar.
Car Jo fut aussi l'homme de la fidélité à sa double origine, russe et corse, identité que, loin d'occulter ou de renier, il ne cessa de revendiquer, en toute simplicité, mais en toute clarté. A ce titre il fut un Président emblématique. Mais au-delà, Jo, personnage charismatique, fut aimé et respecté de tous pour ses qualités humaines et sa convivialité permanente.
Jo était un patriarche au sens premier du terme. Père, grand père, arrière-grand père aimé et vénéré, il cultiva jusqu'à son dernier souffle les vertus familiales les plus nobles.
Jo Tarassenko fut aussi une figure légendaire de la boxe nationale et insulaire, d'abord pour ses propres lauriers pugilistiques, puis pour son dévouement à la formation et à l'éducation de la jeunesse ajaccienne attirée par les lumières du ring.
Mais Jo fut aussi pour ses camarades et amis de l'Association "Kalinka-Machja", le Président qui depuis plus d'une décennie fit preuve d'un engagement solide et déterminé, mais toujours accompagné d'une grande empathie avec l'ensemble des adhérents.
Il y a trois semaines encore, alors que ce qu'il est convenu d'appeler une cruelle maladie lui avait accordé un répit lui permettant de regagner son domicile, il nous confiait, sur la terrasse de son havre de San Fedele, terrasse qui surplombe la splendeur du golfe de Lava et de la campagne environnante, son bonheur d'avoir pu faire renaître et perdurer le souvenir des migrants du "Rion" qui, au lendemain de la révolution russe, furent accueillis en 1921 sur la terre de Corse, devenue leur patrie, et y fondèrent famille en épousant des insulaires.
Il nous rappela aussi quelle avait été sa joie de retrouver, accompagné d'Éliane, qui partageait sa vie, et de sa fille Nicole, à l'occasion d'un pèlerinage aux sources, le village natal de son père, ainsi que ses cousins et petits neveux, dans la région de Krasnodar.
Car Jo fut aussi l'homme de la fidélité à sa double origine, russe et corse, identité que, loin d'occulter ou de renier, il ne cessa de revendiquer, en toute simplicité, mais en toute clarté. A ce titre il fut un Président emblématique. Mais au-delà, Jo, personnage charismatique, fut aimé et respecté de tous pour ses qualités humaines et sa convivialité permanente.